Ma contribution bénévole

Les femmes m’ont toujours touchée dans tout ce qu’elles vivent et survivent… J’ai décidé de leur proposer mon accompagnement avec respect et dans un esprit de sororité.
Je m’ouvre à toutes les femmes souhaitant faire un bout de chemin avec moi, mais mon cœur me porte aussi à aider celles se trouvant dans des contextes compliqués et douloureux. Des femmes dont l’estime d’elle s’est fortement dégradée perdant leur féminité. Elles vivent des situations difficiles, et d’un point de vue financier ne peuvent se permettre d’accéder à des soins ou tout autre aide pouvant éclairer leur chemin. Quand la vie nous amène de lourdes épreuves, l’esthétique reste bien futile, voire même culpabilisant de s’autoriser à penser à son apparence dans certaines situations. Mais je suis persuadée que le fait de prendre soin de soi amène à mieux s’apprécier, à renforcer sa confiance, et par conséquent à mieux assumer ses difficultés. C’est aussi la porte ouverte à une réinsertion professionnelle et à une reprise de vie sociale.

Il me tenait à cœur dans mon activité, d’accorder à ces femmes une attention gracieuse pour leur redonner un peu de soleil dans leur cœur, et qu’elles puissent se réapproprier une image plus lumineuse. C’est, pour ces femmes, les conduire vers une démarche respectueuse d’elle-même, et leurs relations avec les autres s’en trouveront bien plus harmonieuses.
Je pars donc à leur rencontre, dans des centres sociaux, des organismes, des associations de femmes, réseaux ou très naturellement au travers d’un hasard (qui n’en sera pas un…). Ce temps peut être aussi accordé  dans mon espace .

Tarif de la prestation

Un sourire retrouvé, un regard plein d’amour de soi, une appréciation dans un miroir, la croyance en ses rêves, la sensation d’être une femme.

La Bonté

aide aux femmes image Genève

Vivre en soi, ce n’est rien ; il faut vivre en autrui.
A qui puis-je être utile et agréable, aujourd’hui ?
Voilà, chaque matin, ce qu’il faudrait se dire.
Et, le soir, quand des cieux la clarté se retire,
Heureux à qui son coeur tout bas a répondu :
” Ce jour qui va finir, je ne l’ai pas perdu.
Grâce à mes soins, j’ai, sur une face humaine,
La trace d’un plaisir ou l’oubli d’une peine. ”

François Andireux ( 1759-1823)

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